• En ce temps là mon père disait


    L'Europe était en loque,
    Et l'avenir des jeunes, n'était pas le Rock
    Les bombes semaient le désespoir et la mort
    La meilleure des raisons était celle du plus fort !

    Le pays grelottait, et vivait au rythme du tocsins
    Les queues pour la nourritures s'étiraient sans fin !
    La lâcheté et la haine
    Faisaient écho aux tortures et au bruis des chaînes !

    Ou  infamie et délation étaient au balcon
    La liberté n'avait pas de prix
    Quitter le nid familial
    Etait, je vous l'assure, un vrais déchirement !

    Lorsque, on a tout juste vingt ans
    C'est d'amour que l'on rêve, avec son cœur d'enfant !
    En ce temps là...
    On ne lisait plus Ronsard

    Et pourtant dans la terre, les vers n'étaient pas rares !
    Les conquêtes s'appelaient Rose, Marguerite, ou Anémone
    Mais seul le mistral en faisait la cueillette !
    Et c'et dans cet atmosphère apocalyptique

    Que j'acquis ma personnelle victoire ta Mère

    otangerac

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  • Le vieux

     Ma lourde carcasse me fait souffrir
    Je sombre avec une désillusion de la vie
    Dans mon esprit,
    Je ne suis plus q'un vieux débris !

    Mon cerveau qu'y toujours a sommeil
    Est a cours d'idées,
    Que la raison
    De quelque marmonnements de vieux

    Depuis des années j'ai n'est plus
    Laissé échappé de larmes
    Je n'ai plus eu
    Envie de femmes ?
     
    Je tente de me souvenir
    Du corps de mes maîtresses
    Ensevelies
    Dans les méandres de mon cerveaux
     
    Mais, pauvre, de moi amuser
    Les filles de mes joies.
    De l'impure
    Je n'ai même plus l'envie !

    Me vienne : « tourne-toi vers Dieu ».
    Il fait bon dire les prières !
    A moitié mort que je suis,
    En quoi je peut croire ?
     
    J'ai beaucoup travailler je suis las
    De vivre sens espoir.
    Je vais à présent me vêtir
    De mes beaux effet des jours de fêtes
     
    M'apparais de mes plus brillant bijoux
    Etre beau et roi une dernière foi
    Et vienne la paix,
    Allonger dans la terre.

     Otangerac

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  • Pourquoi


     
    Pourquoi si longtemps souffrir
    De ne point te voir et entendre
    Doux feux de lune, angoisse du crépuscule
    Mon âme exilée, endure un long séjours

    De te yeux de source claire
    Parfois je discerne du cristal d'onde limpide
    Qui par ma faute tu versa
    Pour cela je sollicite ton pardon
     
    Enivré de ta flamme proche je choit à tes genoux
    Parle à mon cœur pour apaiser sa douleur
    Dans ce monde si éphémère
    Ou tout cour sur une sphère
     
    Je suis le prix de l'espoir vain
    De ta beauté je suis l'écrin
    De mes yeux tu est la canne blanche
    Je ne peux ni ne veux de toi ôter mon regard
     
    Toi seule peut adoucir mon chagrin
    Peut-être demain sur ce chemin ?
    Pourrais-je te prendre par la main
    Et te dire enfin comme je suis tien

    Otangerac

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  • Tous ses hypocrites

     
    En réponse a tout ses gens anonymes du net ou de tout horizons
    Qui n'ont même pas le courage de leurs opinions
    De se faire connaître pour que l'on puise voir leurs face de cochons
    Dans quelle fange et trempé leurs vies par mis leurs amphitryons
    J'ai juste quelque mot a leurs dire à tous ses gonflé du bidon
    C'et les mêmes ou les progénitures des collabos sans opinion
    Qui ont envoyé les juif aux camps de concentration ,
    Qui vous dénonce au fisc pour avoir bonne conscience
    Qui lèche le cul a leurs bobonnes pour trouver la jouissance
    Les mêmes qui font des courbette a leur patron
    Pour mieux pouvoir lui défoncer l'oignon
    Qui vivent en regardant leur godasses,
    Et qui jalouse leurs voisins, d'en face
    Les mêmes qui manifeste avec une cagoule,
    Les mêmes qui tague la nuit les murs de nos villes
    Les même qui envoie leurs vieux a l'asile
    Qui frappent leurs petits a les rendre sénile
    Les mêmes qui n'ont pas le courage de s'affirmé
    Tant leur vie de délation et compliquée
    Les même pour qui l'on devrait rétablir la peine de mort,
    Mais !!!qu'ils se rassurent un jour la vie leur réserve un autre sort...

     
    Et je leurs dit : l'individu qui te critique et te jalouse ne peut que t'admirer !

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  • L'infini

    Et si sous un chêne on se couche
    Fébrilement enlacé
    Tu me réchaufferait de ta bouche
    La répétant mon instance

    Je te demanderais le silence
    Me sentir faiblir tout entier
    Avant que mon âme s'envole
    Je te dirais ses belles paroles

    Ses vers, ah ! ses vers que jamais
    La mémoire du cœur n'oublie :
    Toi mon espoir mon mois de mai !
    La ou frissonne les herbes folles
     
    A ceux qui s'aiment sans détours
    S'ouvrent ces îles de l'amour
    Je te sent présente à jamais
    Je me suis mis à t'aimer

    Nous deux seuls, pourrons comprendre
    D'un pays de soleil, immense
    Sur ma tête ont passé les ans,
    Je n'ai pas senti que ma jeunesse ma fuis

    Mais je te promet des jours de joie et d'abondance
    Pour toi je vais racheter à la mort ma vie

    otangerac

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