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Par
otengerac dans
PÖEMES le
31 Août 2006 à 22:06
En ce temps là mon père disait
L'Europe était en loque,
Et l'avenir des jeunes, n'était pas le Rock
Les bombes semaient le désespoir et la mort
La meilleure des raisons était celle du plus fort !
Le pays grelottait, et vivait au rythme du tocsins
Les queues pour la nourritures s'étiraient sans fin !
La lâcheté et la haine
Faisaient écho aux tortures et au bruis des chaînes !
Ou infamie et délation étaient au balcon
La liberté n'avait pas de prix
Quitter le nid familial
Etait, je vous l'assure, un vrais déchirement !
Lorsque, on a tout juste vingt ans
C'est d'amour que l'on rêve, avec son cœur d'enfant !
En ce temps là...
On ne lisait plus Ronsard
Et pourtant dans la terre, les vers n'étaient pas rares !
Les conquêtes s'appelaient Rose, Marguerite, ou Anémone
Mais seul le mistral en faisait la cueillette !
Et c'et dans cet atmosphère apocalyptique
Que j'acquis ma personnelle victoire ta Mère
otangerac
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Par
otengerac dans
PÖEMES le
31 Août 2006 à 21:50
Le vieux
Ma lourde carcasse me fait souffrir
Je sombre avec une désillusion de la vie
Dans mon esprit,
Je ne suis plus q'un vieux débris !
Mon cerveau qu'y toujours a sommeil
Est a cours d'idées,
Que la raison
De quelque marmonnements de vieux
Depuis des années j'ai n'est plus
Laissé échappé de larmes
Je n'ai plus eu
Envie de femmes ?
Je tente de me souvenir
Du corps de mes maîtresses
Ensevelies
Dans les méandres de mon cerveaux
Mais, pauvre, de moi amuser
Les filles de mes joies.
De l'impure
Je n'ai même plus l'envie !
Me vienne : « tourne-toi vers Dieu ».
Il fait bon dire les prières !
A moitié mort que je suis,
En quoi je peut croire ?
J'ai beaucoup travailler je suis las
De vivre sens espoir.
Je vais à présent me vêtir
De mes beaux effet des jours de fêtes
M'apparais de mes plus brillant bijoux
Etre beau et roi une dernière foi
Et vienne la paix,
Allonger dans la terre.
Otangerac
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Par
otengerac dans
PÖEMES le
27 Août 2006 à 04:46
Pourquoi
Pourquoi si longtemps souffrir
De ne point te voir et entendre
Doux feux de lune, angoisse du crépuscule
Mon âme exilée, endure un long séjours
De te yeux de source claire
Parfois je discerne du cristal d'onde limpide
Qui par ma faute tu versa
Pour cela je sollicite ton pardon
Enivré de ta flamme proche je choit à tes genoux
Parle à mon cœur pour apaiser sa douleur
Dans ce monde si éphémère
Ou tout cour sur une sphère
Je suis le prix de l'espoir vain
De ta beauté je suis l'écrin
De mes yeux tu est la canne blanche
Je ne peux ni ne veux de toi ôter mon regard
Toi seule peut adoucir mon chagrin
Peut-être demain sur ce chemin ?
Pourrais-je te prendre par la main
Et te dire enfin comme je suis tien
Otangerac
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Par
otengerac dans
PÖEMES le
18 Août 2006 à 23:14
Tous ses hypocrites
En réponse a tout ses gens anonymes du net ou de tout horizons
Qui n'ont même pas le courage de leurs opinions
De se faire connaître pour que l'on puise voir leurs face de cochons
Dans quelle fange et trempé leurs vies par mis leurs amphitryons
J'ai juste quelque mot a leurs dire à tous ses gonflé du bidon
C'et les mêmes ou les progénitures des collabos sans opinion
Qui ont envoyé les juif aux camps de concentration ,
Qui vous dénonce au fisc pour avoir bonne conscience
Qui lèche le cul a leurs bobonnes pour trouver la jouissance
Les mêmes qui font des courbette a leur patron
Pour mieux pouvoir lui défoncer l'oignon
Qui vivent en regardant leur godasses,
Et qui jalouse leurs voisins, d'en face
Les mêmes qui manifeste avec une cagoule,
Les mêmes qui tague la nuit les murs de nos villes
Les même qui envoie leurs vieux a l'asile
Qui frappent leurs petits a les rendre sénile
Les mêmes qui n'ont pas le courage de s'affirmé
Tant leur vie de délation et compliquée
Les même pour qui l'on devrait rétablir la peine de mort,
Mais !!!qu'ils se rassurent un jour la vie leur réserve un autre sort...
Et je leurs dit : l'individu qui te critique et te jalouse ne peut que t'admirer !
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Par
otengerac dans
PÖEMES le
15 Août 2006 à 21:57
L'infini
Et si sous un chêne on se couche
Fébrilement enlacé
Tu me réchaufferait de ta bouche
La répétant mon instance
Je te demanderais le silence
Me sentir faiblir tout entier
Avant que mon âme s'envole
Je te dirais ses belles paroles
Ses vers, ah ! ses vers que jamais
La mémoire du cœur n'oublie :
Toi mon espoir mon mois de mai !
La ou frissonne les herbes folles
A ceux qui s'aiment sans détours
S'ouvrent ces îles de l'amour
Je te sent présente à jamais
Je me suis mis à t'aimer
Nous deux seuls, pourrons comprendre
D'un pays de soleil, immense
Sur ma tête ont passé les ans,
Je n'ai pas senti que ma jeunesse ma fuis
Mais je te promet des jours de joie et d'abondance
Pour toi je vais racheter à la mort ma vie
otangerac
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