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Le château des Bruyères a Pont Saint Esprit dans le Gard Limitrophe avec l'Ardèche et le Vaucluse Ce domaine qui aux derniers recensements au cadastre napoléonien Appartenait au compte de LEZERT lieutenant du Roy François 1er
Là !Dans son parc se trouve une dizaine de platanes plus majestueux les un des autres Et par mis eux il en est un qui mesure 10 m de circonférence 54 m de haut 5 branches immenses de la grosseur d'un platane normal commence de son tronc et en font toute la curiosité, qui pour la petite histoire était sensé abrité une petite cabane, l'on distingue encore les stigmates de cette construction, ses platanes qui n'ont subi aucune taille sont immenses par leurs branchages, qui a eux seul vue du ciel forme une forêt, tel qu'en 1940 les Belges puis les Allemands ont fait du château leur quartier général car sous cette verdure les bâtiments était difficilement repérable de la route et du ciel par les avions de chasse
A présent la carrière d'un centre équestre a pris ombrage sous ses arbres Un restaurant et ses chambres d'hôtes se trouvent sous le gros platane Et vous pouvez écouter les cigales, déjeuner ou siroté une limonade sous sa verte parure Ou même en plein été a midi une petite laine est de mise tellement la fraîcheur y es exquise
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Tremble le grand feu
Aux derniers jours D'automne
Consume mes rêves aux dernières aumônes
J'ose à peine sourire ou alors si peut
Toi ! Sur mon sommeil penché
Tu regarde notre bonheur passé
Du haut de ton cadre d'une étoffe barré
Que les flammes réchauffes depuis tant d'années !
Le temps à séparées nos voies
Longues les heures ! Loin de toi
Ma vie s'égraine en cet endroit
Ou tous les chemins mènent à nos joies
J'ai l'impatience et la foi
De t'avoir près de moi
De retrouver enfin l'amour
Plus fort qu'au premier jour
Je serais retrouver les souvenirs enfouis
Ou nous étions d'heureux insoumis
Nous resterons les mêmes, à nous aimer
Avant que d'être sûrs de ne plu nous quitter
Combien de temps à consumer ?
Combien d'escarbilles à brûler ?
Devant cette cheminée
Afin d'être près de toi !
Si toi tu le sais, surtout dis-le-moi !
©Otangerac 05.06.2007 ©tout droits de reproduction est interdite en France et a l'étranger COPYRIGHT©
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Distant de ton amour Tu es resté dans moi Dans la profondeur de mes idées Comme un morceau d'une vie qui n'existe plu ! Tu-es une aguilles dans mes veines Un splendide mensonge La lancinante plaie qui jamais ne se refermera Chaque jours qui passent, Par ta faute je mange des larmes Le soir venu, mon lit paraît si vaste Que même un grand amour si perdrait ! Parfois les échos de mon chagrin A l'aube y résonne encore Je t'écris de temps a autre Cependant je ne devrais pas Je voudrais me libérer de toi Du piège de set idylle Parce que je ne vis plu Parce que tu me manque Je passe mon temps à me demander Que fait-tu sans moi ? Mon souffle s'exténue pour expliquer Que se vide de toi m'es insupportable ! Je suis le feu qui se consume Distant de ton amour ©Otangerac 29.05.2007©tout droits de reproduction est interdite en France et a l'étranger COPYRIGHT©
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Il y a tant de souvenirs, Qui de mon passé surgissent ! Certain me font rougir, d'autres me font rugir Dans cette demeure ou tu nous as jadis élevés Tu étais la première levée, et la dernière couchée
Tel un chef d'orchestres tout tu dirigeais Et ce n'et pas de trop dire que cette tache était parfois insurmontable Aussi comment faire dans ce pays, dont tu ne maîtrise point le langage A trente printemps, cinq enfants turbulents un mari souvent absent Tu n'as pas souvent eut droit au repos,
Laver, frotter, cuisiner voilà ton quotidien Le soir en rentrant tu nous déshabillais, pour laver nos effets, Afin que le lendemain propre l'on puisse à l'école allez ! A chaque anniversaire le même gâteau, point de bougies bien sur ! Mais beaucoup d'amour.
A Noël nous n'avions pas les cadeaux espéraient Mais je savais que d'un triste sourire Tu nous dirais : Vous verrez l'an prochain ! Le Père Noël sera plus généreux
Les jours les plus lumineux dont me vient souvenance Ce sont avec toi ceux de mon enfance Certes nous n'étions pas riches Mais de tes baisers Tu n'étais pas chiche
Au crépuscule de ma vie, Quand arrivera l'ultime moment, Comme un enfant blessé ! C'est encore toi que j'appellerai Maman
©Otangerac©tout droits de reproduction est interdite en France et a l'étranger COPYRIGHT©
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Pôeme que tu ne liras pas
Nous avions si longtemps ensemble joué..
Néanmoins jamais avec les sentiments.
De mon village natal a notre exil crucial
Tous mes rires d'enfant sont omniprésents
L'enthousiasme que j'avais quand j'étais enfant
De temps a autre revient et déborde dans mon cœur
Souvent parfois quand tu annonçais ta venue
je sentais monter des ondes d'une grande vertu
Toi seul savait que tu étais dans ma vie
Tu étais mes jeunes années, la mémoire de mes pensées
Tes péripéties étaient semblables aux miennes
Notre errance était le même
Ses dernières années la vie nous avaient rapprochais
De nos soucis nous étions à l'apogée
Mais comme tout es éphémère sur cette sphère
Nous avons raillez nos galéres
Puis tu avais enfin touché le bonheur avec ta dernière fleur
Qui a su te donner toute sa chaleur !
Elle savait parler à ton cœur et lire dans té pensé
Et mon esprit était enfin en paix....
Hélas la vie est faite de controverse
Tu as rejoint trop tôt ton fils parti un soir d'averse
En nous laissons dans une grande tristesse funeste
Mais toi dans ta détresse soi en paix près de ton enfant céleste
Le temps nous rappelle aux souvenirs d'antan
Tout en émotions attentifs a cette horloge qui égraine le temps
Qui semble nous interpeller sans se soucier du moment ?
C'est avec un fond sombre un peut affligé je te dis à bientôt
A présent il pleut dans mes souvenirs
Désormais Il y a une faille béante
Mon passé s'enfuis comme s'il devait te rattraper
Tu as était mon tonton, mon ami, et mon frère
Ta présence combien a présent me manque
©otangerac le 02.01.2007 ©tout droits de reproduction est interdite en France et a l'étranger COPYRIGHT©
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