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Par
otengerac dans
PÖEMES le
26 Janvier 2008 à 20:26
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Aucune trace dans la blanche neige
Puis j'ai attendu... et plus encore.
Mon cœur est chaud, dans cette froidure
Mon corps trille dans ses guenilles
Mon diurne soliloque résonne au firmament
Mon amour pour toi est toujours présent...
La neige a effacé tes traces ;
Je voudrais tant que tu m'enlace..
Nous avions rendez-vous pour faire bombance
Maudite poudre blanche qui tombe en abondance
La neige a effacé tes traces
Toi et moi somment face à face
Toi dans tes crépusculaires nuages
Moi dans cette terrestre tourmente
Nous devions nous rencontrer..
La neige a effacé nos traces.
J'aurais tant aimé que tu deviennes ma femme !
Le faix des ans n'a pas consumé ma flamme :
j'ai perdu ta trace, j'ai prié seul a la chapelle
Tes pas dans la neige n'ont laissaient aucune empreintes
Mais dans mon cœur il reste toujours une trace
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Par
otengerac dans
PÖEMES le
23 Janvier 2008 à 06:23
Tout le silence
Lorsque la voûte céleste enveloppe notre nid
Nos âmes en silence retiennent leurs souffles
Devant son ardeur intense et douce réunie,
Nous nous sentons, fébrilement, émus en couple.
Les étoiles qui filles tracent au loin leur destinées
A la trace de leurs éclats
La nuit étale son voile obscur calamistrée
Que l'on peut percevoir l'océan respirer non loin de là!
Qu'importe que tout fasse silence et se taise,
Si dans l'immensité étincelante et sauvage
Remplie d'imperceptible violence de braises
L'ont entend battre nos cœurs dans les nuages !
Otangerac 20.01.2008
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Par
otengerac dans
PÖEMES le
22 Janvier 2008 à 20:59
Etendu la face vers le firmament
Je nage dans les souvenir lointain
Devant la paroi de mon alcôve
1 commentaire
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Par
otengerac dans
PÖEMES le
22 Janvier 2008 à 14:53
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Voilà encore un jour sens-toi
Cela fait six mois a présent
Je compte les heures
Et tu me manques plus encore
Si tu pouvais le savoir
Mais il est inutile de me faire à cette idée
Le temps accentue mes rides
Et grave un sillon sans fin
Dans mon cœur meurtri par ton départ
Saura tu- un jour combien je suis seul
Tout ce gâchis autour de nous
Il ne reste de toi q'une prière
Un souffle qui s'éloigne vers l'infini
Mon dos se courbure, mes pas sont incertains
Mes mains tremblent, ma voix est plu rauque
Je sais à présent que nous ne vieillirons pas ensemble
Otangerac 18.12.1998
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