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    Pour moi les océans sont des lointains mirages
    mais un jour après un gros orage


    Je rencontrerai peut être cet océan qui nous sépare,
    ce jour là je larguerait mes amarres


    Pour enfin quitter mes fantasmes,
    Et m’évader de ma France,
    Afin de rencontres ma poétiques espérance

    Cet océan qui est la transparence de nos souffrances
    De mes vagues à l'âme, et mes espérances,


    De mes sensations d'évasion
    Tu viendra mi retrouver a l’unisson


    Sur cette plage ce sera en été
    Pour ne jamais oublier...

     

    Tu arrivera sur les vagues de l’océan
    Pour y marcher juste un instant


    Et rêver, a nos merveilleux moment
    Quelques secondes juste un temps

     

    Otangerac


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    Mourir pour des ides passe encor

    Mourir d’avoir trop bu je ne suis pas d’accord

    Quel drôle d’idée pour mon corps

     

    Pourtant j’ai bu le pinard des pauvres

    Celui de la bouteille en plastique à l’encre de pieuvre

    L’opium de la populasse celui qui dés œuvre

     

    Un lavement pour l’estomac

    Le nectar qui fini par un couac

    La vinasse ma bibine mon cornac

     

    Apres avoir asséché tant de verres

    Ma cirrhose le confirme six pieds sous terre

    Elle ma pris en traître cette sédentaire

     

    De mon vivant je composais de vers et des proses

    Aujourd'hui les vers me décomposent

    Ici je suis l’ivrogne le con qu’on dépose

     

    Je ne bouge plu d’ici, je le juré sur ma rapière !

    Venez tous sur ma tombe trinquer à l’amer bière

    Dorénavant tout ici m’indiffère

     

    Et si je m’étais fait incinéré plu de catacombes

    Cela aurais mis fin à tout ses vers c’et le comble

    Et surtout éviter de me retourner dans ma tombe

     

    Otangerac 11.03.2010

     

     


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    Non !!Mes progénitures je ne me suis pas enfuis

    Si à ce jour loin de vous je suis

    C’et que la vie nous a trahi

    J’ai était tout simplement proscris

     

    Vingt ans j’avais un jour de juillet !

    Lorsque l’amour entre nous était

    Bon train vont les regrets

    Mais vous révoquer jamais !

     

    Pour la femme je suis un vieux salop

    Aucun pardon pour mon fardeau

    Des mots puis un silence de trop

    Pourtant j’avais donné ma vie à mon bourreau

     

    Depuis je sais que des enfants sont nés

    Grand père je suis désormais

    La vie a parfois ses bienfaits

    Je ne serais point oublié

     

    Ici je vais me taire et faire silence

    Vous aimer cela a son importance

    Vous laisser juge de mon ignorance

    Car mes souvenirs ont un goût de rance

     

    Mon amour pour vous demande clémence

    Ne point finir nos jours dans l’intolérance

    Reste une page déchiré à nos transhumances

    Aussi l’amour ne se mesure pas en jour d’abstinences

     

    Otangerac


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  • Glacé comme le désespoir

    Je suis venu te voir

    J’attendais toujours un mot de toi

    Mais ton regard ma glacé d’effroi

     

    Je suis un homme simple perdus dans mes songes
    Je me regarde dans ton ennuie
    Pourtant je n'ai pas laissé mourir l’envie

    J’ai connu des vents de pitié pour tes mensonges

    Parfois la mort m’écrit les soirs d'ivresse

    Dans mes solitudes maquillées par la nuit
    Je lui répondu par simple politesse

    Comme si en trop était ma vie

    Je lui est dit que j’ai vu des plages de tendresses
    Des vagues d’écumes se brisant sur des corps d’allégresses

    Des arbres sans ombre pour ceux qu'ils hébergent

    Des promesses d’éternité la bas sur les berges

     

    Que j’ai connu des ciels plus blancs

    Des mers aux reflets d’argent

    Qu’il y a des heures déraisonnables
    Que la détresse rend irresponsable

    Je suis comme un mendiant fatigué qui s’exile pour mourir  
    Les mains ouvertes pour d’amour se nourrir
    Mais lorsque se soigner c'est boire pour oublier
    La réalité on la vie comme une cruauté

    Otangerac

     


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    Floconnée par des cristaux céleste

    Mes ennuis de neige se lestent

    La nature recouvre d’une Virginale blancheur

    Les souillures passées d’une nouvelle pâleur

     

    Oublié ! Le passé tout y est lissé

    Plus de remords plu d’adversité

    A l’horizon se vêt un nouvel espoir intenté

    Seuls les reliefs escarpés sentinelles le passé


    Hélas cette joie éphémère

    Apporte son cortège de fanges austères

    Pris dans l’étau des congères

    Mon repos fuse comme mes joies passagères

     

    Aussi lorsque le mistral souffle sans raison

    Beauté et passion deviennent prison

    Surpris par le manteau blanc de l’effroi

    L’aube et l’ennui cherchent leurs proies

     

    Caregnato Alberto

     


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