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Par otengerac le 3 Mai 2010 à 22:52
Pour moi les océans sont des lointains mirages
mais un jour après un gros orage
Je rencontrerai peut être cet océan qui nous sépare,
ce jour là je larguerait mes amarres
Pour enfin quitter mes fantasmes,
Et m’évader de ma France,
Afin de rencontres ma poétiques espérance
Cet océan qui est la transparence de nos souffrances
De mes vagues à l'âme, et mes espérances,
De mes sensations d'évasion
Tu viendra mi retrouver a l’unisson
Sur cette plage ce sera en été
Pour ne jamais oublier...Tu arrivera sur les vagues de l’océan
Pour y marcher juste un instant
Et rêver, a nos merveilleux moment
Quelques secondes juste un tempsOtangerac
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Par otengerac le 11 Mars 2010 à 17:35
Mourir pour des ides passe encor
Mourir d’avoir trop bu je ne suis pas d’accord
Quel drôle d’idée pour mon corps
Pourtant j’ai bu le pinard des pauvres
Celui de la bouteille en plastique à l’encre de pieuvre
L’opium de la populasse celui qui dés œuvre
Un lavement pour l’estomac
Le nectar qui fini par un couac
La vinasse ma bibine mon cornac
Apres avoir asséché tant de verres
Ma cirrhose le confirme six pieds sous terre
Elle ma pris en traître cette sédentaire
De mon vivant je composais de vers et des proses
Aujourd'hui les vers me décomposent
Ici je suis l’ivrogne le con qu’on dépose
Je ne bouge plu d’ici, je le juré sur ma rapière !
Venez tous sur ma tombe trinquer à l’amer bière
Dorénavant tout ici m’indiffère
Et si je m’étais fait incinéré plu de catacombes
Cela aurais mis fin à tout ses vers c’et le comble
Et surtout éviter de me retourner dans ma tombe
Otangerac 11.03.2010
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Par otengerac le 3 Mars 2010 à 17:08
Non !!Mes progénitures je ne me suis pas enfuis
Si à ce jour loin de vous je suis
C’et que la vie nous a trahi
J’ai était tout simplement proscris
Vingt ans j’avais un jour de juillet !
Lorsque l’amour entre nous était
Bon train vont les regrets
Mais vous révoquer jamais !
Pour la femme je suis un vieux salop
Aucun pardon pour mon fardeau
Des mots puis un silence de trop
Pourtant j’avais donné ma vie à mon bourreau
Depuis je sais que des enfants sont nés
Grand père je suis désormais
La vie a parfois ses bienfaits
Je ne serais point oublié
Ici je vais me taire et faire silence
Vous aimer cela a son importance
Vous laisser juge de mon ignorance
Car mes souvenirs ont un goût de rance
Mon amour pour vous demande clémence
Ne point finir nos jours dans l’intolérance
Reste une page déchiré à nos transhumances
Aussi l’amour ne se mesure pas en jour d’abstinences
Otangerac
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Par otengerac le 16 Février 2010 à 08:00
Glacé comme le désespoir
Je suis venu te voir
J’attendais toujours un mot de toi
Mais ton regard ma glacé d’effroi
Je suis un homme simple perdus dans mes songes
Je me regarde dans ton ennuie
Pourtant je n'ai pas laissé mourir l’envieJ’ai connu des vents de pitié pour tes mensonges
Parfois la mort m’écrit les soirs d'ivresse
Dans mes solitudes maquillées par la nuit
Je lui répondu par simple politesseComme si en trop était ma vie
Je lui est dit que j’ai vu des plages de tendresses
Des vagues d’écumes se brisant sur des corps d’allégressesDes arbres sans ombre pour ceux qu'ils hébergent
Des promesses d’éternité la bas sur les berges
Que j’ai connu des ciels plus blancs
Des mers aux reflets d’argent
Qu’il y a des heures déraisonnables
Que la détresse rend irresponsable
Je suis comme un mendiant fatigué qui s’exile pour mourir
Les mains ouvertes pour d’amour se nourrir
Mais lorsque se soigner c'est boire pour oublier
La réalité on la vie comme une cruauté
Otangerac
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Par otengerac le 13 Février 2010 à 07:59
Floconnée par des cristaux céleste
Mes ennuis de neige se lestent
La nature recouvre d’une Virginale blancheur
Les souillures passées d’une nouvelle pâleur
Oublié ! Le passé tout y est lissé
Plus de remords plu d’adversité
A l’horizon se vêt un nouvel espoir intenté
Seuls les reliefs escarpés sentinelles le passé
Hélas cette joie éphémère
Apporte son cortège de fanges austères
Pris dans l’étau des congères
Mon repos fuse comme mes joies passagères
Aussi lorsque le mistral souffle sans raison
Beauté et passion deviennent prison
Surpris par le manteau blanc de l’effroi
L’aube et l’ennui cherchent leurs proies
Caregnato Alberto
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