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Par
otengerac dans
PÖEMES le
18 Mars 2008 à 20:05
L'observant de mon castel antique,
Se croyant seule, à cette onde plaintive
Pareillement au sien mon avenir est obscur !
Je voulais rester libre et dépenser ma vie
En doux baisers, et milles plaisirs
Cependant à bien aimer, mon âme est prête ;
Et du grand amour en connaître tout l'émoi
De sa grandeur en redécouvrir l'envie
Sans aucuns regrets ni remords ;
En toute Simplicité lui rendre sa grâce unique
Ainsi que Touts ses attraits de noblesse...
Puis !Devant le miroir des souvenirs perdus ;
Avant que du palais la pomme ne sorte !
Sans nul retard, courir au bois ou dormait la belle
Dans sa demeure y pénétrer !
Poser un baiser sur la bouche de la gente jouvencelle ;
Sentir enfin son cœur palpiter sous son corps sage.
Alors en souriant ; elle m'adressait ces mots
Mon prince ; tu es enfin venu !
Puis tout s'écoulerait sans trouble ainsi que ma jeunesse
Rêve limpide où blanche était la neige sous un ciel d'azur
Et ne point avoir l'orgueil des princes de noblesse
N'en doutons points, il est un Dieu propice
Qui rend heureux les amants désunis.
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demain aura defait les dernieres promesses.. seront que de souvenirs colorés de tendresse .... tel que leur jeunesse ils laisseront deux ombres d or ...... ces amants désunis n auront ni fin .ni mort... ........................... profond sont tes mots amitié cécile ..............