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Par
otengerac dans
PÖEMES le
14 Juin 2008 à 18:09
Tous les jours j'ai peur d'aujourd'hui
Tous les soirs j'ai peur du noir
Peur de ne plu te voir dans se brouillard
La nuit c'est comme la dune de sable
Qui sous mon chagrin me déstabilise !
Je voudrais bien me débarrassant de mes états d'âme
Comme un chien de ses puces !
Mais il m'arrive parfois de rire de moi,
D'oublier tous les torts, tous les remords.
Je lave mon esprit des souillures de la vie
Cependant devant cette journée qui m'ouvre sa fenêtre
Je ferme les yeux et je n'et point vu du noir si beau
Pourtant je n'et pas vu passer le plaisir
Mais j'en garde des marques qui font souffrir
C'est pas des trucs qu'on emprisonne..
C'est juste là, ça déraisonne !!
J'avance sans elle, ma solitude me fait courir
Mon chagrin cultive sa haine du soir au matin
Ne pas comprendre cette force mystique qui nous désunis
Pourtant je lave mon esprit des souillures de la vie
Faut garder ses larmes pour soi en cas de besoin
Ca fait sept lieux plus loin que le septième ciel
Tout près de cette tempête de silence
Qui m'insufflait mille brillances !
Il n'est rien que je puisse oublier
Ni le goût de l'amer, ni le vent sucré
Les rêves ça pousse pas sous la pluie
C'est un concert dans lequel je me transporte
Quand la dernière larme fait déborder le ruisseau
Me jeter dans son lit pour mi noyer
Pour ne pas aller sangloter dans le lit
D'un trop triste et ancien amour
Otangerac 14.06.2008© COPYRITH tout droits de reproduction est interdite en France et à l'étranger COPYRIGHTÓ
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C'est une jolie poésie... il faudrait quand même corriger l'orthographe du titre "septième" pas "sétieme"