• Le séptieme ciel

     
    Tous les jours j'ai peur d'aujourd'hui
    Tous les soirs j'ai peur du noir
    Peur de ne plu te voir dans se brouillard
    La nuit c'est comme la dune de sable
    Qui sous mon chagrin me déstabilise !

     
    Je voudrais bien me débarrassant de mes états d'âme
    Comme un chien de ses puces !
    Mais il m'arrive parfois de rire de moi,
    D'oublier tous les torts, tous les remords.
    Je lave mon esprit des souillures de la vie

     
    Cependant devant cette journée qui m'ouvre sa fenêtre
    Je ferme les yeux et je n'et point vu du noir si beau
    Pourtant je n'et pas vu passer le plaisir
    Mais j'en garde des marques qui font souffrir
    C'est pas des trucs qu'on emprisonne..

     
    C'est juste là, ça déraisonne !!
    J'avance sans elle, ma solitude me fait courir
    Mon chagrin cultive sa haine du soir au matin
    Ne pas comprendre cette force mystique qui nous désunis
    Pourtant je lave mon esprit des souillures de la vie
    Faut garder ses larmes pour soi en cas de besoin

     
    Elle habite la bas,
    Ca fait sept lieux plus loin que le septième ciel
    Tout près de cette tempête de silence
    Qui m'insufflait mille brillances !
    Il n'est rien que je puisse oublier
    Ni le goût de l'amer, ni le vent sucré

     
    Les rêves ça pousse pas sous la pluie
    C'est un concert dans lequel je me transporte
    Quand la dernière larme fait déborder le ruisseau
    Me jeter dans son lit pour mi noyer
     Pour ne pas aller sangloter dans le lit
     D'un trop triste et ancien amour
     
    Otangerac 14.06.2008© COPYRITH tout droits de reproduction est interdite  en France et à l'étranger COPYRIGHTÓ 

  • Commentaires

    1
    Samedi 14 Juin 2008 à 18:11
    orthographe
    C'est une jolie poésie... il faudrait quand même corriger l'orthographe du titre "septième" pas "sétieme"
    2
    Malina
    Dimanche 22 Juin 2008 à 05:42
    l'Accident...
    Il roulait sans regarder à vivre allure Se croyant à l'abri derrière ses insomnies De ses rêves perdus au creux de la nuit La noire chevelure fût éblouie Et l'aveuglée frappée de plein fouet Finit sur son coeur stupéfait Trop pris par ses regrets les soucis et la vie Il errait sur la route se racontant à des ombres qui parfois répondaient Au détour d'une courbe il ne se doutait Que le destin nous réserve bien des secrets Il a foudroyé son coeur comme un fou conduisant La prudence est de mise sur la Route du Soleil Elle marchant lui au volant le destin frappe pareil Rien ne pardonne sur la route sans sommeil aux errants Alitée depuis ce jour fatal elle réapprend à aimer Il est coupable d'amour maintenant pour toujours Pour l'avoir renversé Surveiller votre route et les sombres détours L'amour le grand pourrait vous frapper Et vous pourriez en mourir Sans l'avoir cherché .......
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