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    Dans le sac à main d’une solitaire

     

    Il y a un peu de tout un peu de rien

    Un réverbère ma éteint

     

    Tous les souvenir, toutes les envies

    Le passé et l’avenir qui s’enfuient

     

    Des petits des gros soucis, même des polissons

    De grandes mais minces illusions

     

    Des riches espoirs et d’autres plus noir

    Un ticket de gare pour nulle part

     

    Dans le sac à main d’une solitaire

     

    Se trouvent des rires des larmes

    Des restes de joie et des passes d’arme

    Quelques comprimés pour calmer les alarmes

     

    Des mômes qu’elle ne pourra plu avoir

    Une espérance et plein d’espoir

    Et surtout la lettre jaunie de son amour qui la laisser choir

    Le tout est recouvert d’un mouchoir

     

     

    Sur la photo de sa mère qui la regarde souffrir

     

    Otangerac


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    Jadis j’étais content de nos vingt ans

    A présent nous avons trois fois vingt ans.

    Je suis content

    D’être de toi amoureux comme auparavant 

     

    Et dans tes bras

    Bien qu’ils soient frêles

    J y puise la force passionnelle

    De nos moment  fusionnels

     

    Hélas dans ton miroir

    Je lis ton désespoir

    Rien ne s’effaces

    Tu dis que le temps a laissé de mauvaises traces

     

    Néanmoins dans tes bras

    Bien qu’ils soient frêles

    J’y retrouve une douce et subtile atmosphère

    Comme au temps des jours rebelles

     

    J’ai soixante piges

    Je suis un vestige

    Passent les saisons qui me fustigent

    Mais lorsque je te regarde j’ai toujours les mêmes vertiges

     

    Car dans tes bras

    Bien qu’ils soient frêles

    Il y aura toujours cette chaleur essentielle

    Et pour cela je te suis resté fidèle….

     

    Otangerac


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    Le vieux réverbère donne si peut de lumière 

    Dans cette ruelle aux hombres lunaire

    Parmi les murs fatigués aux trottoirs compissés

     

    A cette heure tardive après un film crétin

    Heure fatidique pour les clochards sans lendemain

    L’heure idéale pour abandonner un chien

     

    Fenêtres fermées, Volet cloîtrés

    Pas de télé juste une goûte dans l’évier

    Métronome agacé

     

    C’est là mon amour

    Où tu t’es perdu un jour

    C’est la ou je té dit c’et pour toujours

     

    Le temps a passé on a changé de localité

    Mes fenêtres sont plus grandes mais moins ensoleillées

    Mes printemps se sont enfuis lorsque tu ma quitté

     

    Il reste cette pluie que je trouve belle

    Qui me rappelle notre ruelle

    Hélas aujourd’hui se sont mes larmes qui ruissellent

     

    Otangerac 07.03.2010


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  • Un jour l’on ma dit soi patient petit

     Ton jour de gloire viendra aussi

    Depuis j'attends, mon paradis
    Et très peut d’espoir d’être compris

     
    Mes amies m'ont trahi abandonné
    Mon travail ma repu et fatigué
    Mes amours ne sont que frivolités
    Pourtant je reste a ce jour un passionné


    Je devrais être plus dur plus radical
    Être insensible et moins social
    Dénoncer l’injustice de ses chacals
    Être un émétique syndical


    Finir de me battre pour les opprimés
    Car pour mon mal à moi ils sont sans pitié
    Faut guerroyer ses sectaires du pognon
    Qui dilapide sans vergogne les escarcelles de nos pantalons ....


    Suis fatigué de cette injustice
    De tout ses gens opportunistes
    Fatiguer de voir cette misère
    Déferler à grand pas sur notre terre .
    ..

     

    Caregnato Alberto

     


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