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Par otengerac le 14 Mars 2010 à 20:28
Dans le sac à main d’une solitaire
Il y a un peu de tout un peu de rien
Un réverbère ma éteint
Tous les souvenir, toutes les envies
Le passé et l’avenir qui s’enfuient
Des petits des gros soucis, même des polissons
De grandes mais minces illusions
Des riches espoirs et d’autres plus noir
Un ticket de gare pour nulle part
Dans le sac à main d’une solitaire
Se trouvent des rires des larmes
Des restes de joie et des passes d’arme
Quelques comprimés pour calmer les alarmes
Des mômes qu’elle ne pourra plu avoir
Une espérance et plein d’espoir
Et surtout la lettre jaunie de son amour qui la laisser choir
Le tout est recouvert d’un mouchoir
Sur la photo de sa mère qui la regarde souffrir
Otangerac
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Par otengerac le 14 Mars 2010 à 07:27
Jadis j’étais content de nos vingt ans
A présent nous avons trois fois vingt ans.
Je suis content
D’être de toi amoureux comme auparavant
Et dans tes bras
Bien qu’ils soient frêles
J y puise la force passionnelle
De nos moment fusionnels
Hélas dans ton miroir
Je lis ton désespoir
Rien ne s’effaces
Tu dis que le temps a laissé de mauvaises traces
Néanmoins dans tes bras
Bien qu’ils soient frêles
J’y retrouve une douce et subtile atmosphère
Comme au temps des jours rebelles
J’ai soixante piges
Je suis un vestige
Passent les saisons qui me fustigent
Mais lorsque je te regarde j’ai toujours les mêmes vertiges
Car dans tes bras
Bien qu’ils soient frêles
Il y aura toujours cette chaleur essentielle
Et pour cela je te suis resté fidèle….
Otangerac
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Par otengerac le 7 Mars 2010 à 14:48
Le vieux réverbère donne si peut de lumière
Dans cette ruelle aux hombres lunaire
Parmi les murs fatigués aux trottoirs compissés
A cette heure tardive après un film crétin
Heure fatidique pour les clochards sans lendemain
L’heure idéale pour abandonner un chien
Fenêtres fermées, Volet cloîtrés
Pas de télé juste une goûte dans l’évier
Métronome agacé
C’est là mon amour
Où tu t’es perdu un jour
C’est la ou je té dit c’et pour toujours
Le temps a passé on a changé de localité
Mes fenêtres sont plus grandes mais moins ensoleillées
Mes printemps se sont enfuis lorsque tu ma quitté
Il reste cette pluie que je trouve belle
Qui me rappelle notre ruelle
Hélas aujourd’hui se sont mes larmes qui ruissellent
Otangerac 07.03.2010
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Par otengerac le 12 Février 2010 à 22:34
Un jour l’on ma dit soi patient petit
Ton jour de gloire viendra aussi
Depuis j'attends, mon paradis
Et très peut d’espoir d’être compris
Mes amies m'ont trahi abandonné
Mon travail ma repu et fatigué
Mes amours ne sont que frivolités
Pourtant je reste a ce jour un passionné
Je devrais être plus dur plus radical
Être insensible et moins social
Dénoncer l’injustice de ses chacals
Être un émétique syndical
Finir de me battre pour les opprimés
Car pour mon mal à moi ils sont sans pitié
Faut guerroyer ses sectaires du pognon
Qui dilapide sans vergogne les escarcelles de nos pantalons ....
Suis fatigué de cette injustice
De tout ses gens opportunistes
Fatiguer de voir cette misère
Déferler à grand pas sur notre terre ...Caregnato Alberto
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