• J’écris à un amour perdu
    Lointain de mes silences repus
    Douce peine en mon cœur fatigué
    Par une amante d’une fragilité ambiguïté


    J’écris comme je pleure son corps
    De cette femme qui manque à mes accords
    Reste en moi d’amers remords !
    Les souvenirs des essors


    Des poèmes aux senteur de lavande 
    Mais la savoir là bas m’amande
    Je me dis que son silence c'est des mots
    Je lui dis que la lire c'est l'aimer comme un sots


    Et si je la savais heureuse ce serait fort.
    Bien plus que notre amour né mort
    Je l'embrasse de ma tendresse inutile
    De mes mots simples cons et futiles


    Elle est à jamais dans mon coeur arrogant
    Cette amie lointaine de ce continent
    j’aimerait comme elle écrire en lettres de sang

    Sous une blanche plume d’argent


    Mais par maladresse d’en dire trop je terrerais ici mes mots


    Otangerac

     

     


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    Je vis en léthargie écartée de toute joie

    Trois chats pour toute vie dont un siamois

    Un chien vilain avec sa peau de chagrin

    Qui venait de je ne sais d’ou ni par quel chemin

     

    Tous des abandonnés du bonheur

    Dans nos tourments sans heurts,

    Que des amours fragiles

    Des regards et des gestes imbéciles

     

    Tous ses animaux n’ont pas de noms

    Cela m’évite de les appeler d’un nom à la con

    Je ne sais qui est le male ou la femelle

    Tous font silences autour de la même gamelle

     

    On voisine chacun chez soi !

    Sauf le chien qui me suivait parfois

    Ce soir je ne sais pourquoi ?

    Mes pensées s’attardent sur lui qui n’est plu là !

     

    Dix ans ensemble à se regarder vivre

    A écouter les idioties de mes jours les plus ivres

    A supporter mes éthyliques coma

    Pourtant il était là et libre a tout vas

     

    Je n’ai jamais compris jusqu'au jour de son trépas

    Pourquoi il n’écoutait que moi

    En le voyant partir ce jour là !

    Dans son regard j’ai compris qu’il n’aimait que moi

     

    Personne ne veut le croire

    A présent je vis seul démuni d’un bout de mon histoire

    Un grand vide immense à mes pieds

    Un collier vacant et une gamelle argentée

     

    Cependant je vous assure que l’on c’et aimé

     

    Otangerac

     


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    Cette dépêche est dédié aux jaloux aux redresseurs de torts les critiqueurs les imbus de leurs personnes à ceux-là même qui me tirent dans le dos qui inventent ma vie sans fondement ceux qui ont supposé tout savoir de moi a travers leurs grappillages dans les immondices des autres tout ces fourbes prétendu amis qui on cru m’endoctriner ou me manipuler….

    Il est difficile d'accepter, les critiques, les insultes et l'indélicatesse. En général ce genre de comportement engendre une réaction négative presque instantanée sur ma personne me sentant offensée je tempête.. Aussi si je réagis en me sentant blessé ou furieux, je détruis la paix de mon esprit. Ce que j’ai fait par le passé, par contre, a présent si j’ignore l’insulte en faisant la sourde oreille, je me protéger contre cette indignité. Donc, s’il s’agit d’une insulte mineure ou isolée, je peux tout simplement décider de l’ignorer par contre, si la personne continue à tenir des propos calomniateurs et déplaisants à mon sujet, si elle persiste à me couvrir d’injures alors j’applique une solution radicale.

    Par le passé ma réaction était fulgurant (lorsque l’on connais le bonhomme on comprend) a présent je m’éloigne physiquement de la personne qui ma insulte. C’est la façon la plus simple pour diminuer mon exposition à ses attaques. Mais peu importe les circonstances, si des insultes répétitives deviennent un véritable abus psychologique, j’ai toujours la possibilité de fuir. En général, vaux mieux se taire lorsque nous sommes insulté, mais parfois la situation impose ! Je ne manque pas de courage pour le faire, c’et plutôt que la personne ne le mérite pas ou plu à mes yeux, je le fais pour moi-même. Cela ne peut que me placer au-dessus de la personne qui m’insulte. Montrez du respect à cette personne ne veut pas dire que j’abandonne mes positions et mes idées. Cela signifie simplement que je suis mieux qu’elle..

    Toutes ses circonstances désagréables sont pour moi des occasions d’apprendre. Transformer mon épreuve en opportunité. Les insultes qui me sont faites ont peut-être une parcelle de vérité. Puis même si elles sont complètement fausses; j’apprends en observant le contexte qui a mené à ces insultes. Peu importe si je suis fautif ou pas, il y a toujours de nouvelles choses à apprendre.
    Il est vrai aussi que je ne m’attendais jamais à être insulté, surtout par une femme au langage de charretière ou de garçon manqué. Il est malheureusement normal de temps à autre d’être victime d’indélicatesse. Ça fait partie de la vie en société. Alors, je dédramatise la situation. Ça arrive à tout le monde. Ça m’est déjà arrivé dans le passé et j’ai survécu. Je sais pertinemment que cela m’arrivera encore certes !..

    Conclusion
    Lorsque je suis blessé par les mots des autres, je prend l’attitude de mon chien Renoir. Mon chien ne s'occupe pas des commérages ou des ragots, il ne fait qu’étendre sa joie partout sans distinction sans se soucier de savoir si les gens sont les bienvenus ou pas. Donc j’imite mon chien, et continue à rayonner même si je me sens offensé. Avec cet état d’esprit, je suis en meilleure position pour continuer à être courtois et diplomate dans toutes les situations. Évidemment, je ne vais pas laisser qui que ce soit abuser de moi ou manger a ma table. Je sais simplement que lorsque je suis insulté, c’est à moi de décider d’être victime ou d’être plus fort que cette épreuve, de choisir d'ouvrir ou fermer la porte à ses gens là...

    Otangerac

    "Si l’on est patient un jour de colère, ont échappe à trois cent jours de chagrin."


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