• les réves qui séfondres


    Regarde-nous
    Nous n’écouterons plus nos bouches se répondre
    Nos cœurs qui sonnaient faux
    S’éteignent dans la nuit
    Sous des rêves qui s’effondrent


    Leurs débris s’en vont suivre sans bruit
    le vol des condors dans le silence des Andes

    Ou seul tes cris éraillés

    Résonne encore désormais 
    Avec toute sa violence


    Ma bouche se referme
    L’abîme de mon indifférence 
    A absorbé ton tout dernier souvenir
     Tes calomnies injurieuses résonnent
    Encore dans ce corridor

     
    Qui retentit un temps au milieu de ta haine
    Subir tes insultes étais triste à crever !
    Tout s'est désormais éteint
    Ton absence est plate à l’infini
    Restent des images qui tournent et roule

    Alors je devine
    Comme à travers l’autre lumière
    À travers la dernière
    Des dernières
    J’entrevois derrière


    A présente je lève mon verre

    Aux minutes qui tanguent dans les airs
    A l'ombre de ton reflet
    Aux jours délavés
    Et ne songent plus qu’à sceller mes paupières


    Afin d’oublier l’image de tes insultes sybarites

     

    Otangerac


  • Commentaires

    1
    Mercredi 16 Janvier 2013 à 23:50
    Plagiat
    https://sites.google.com/site/antonkarmazoe/l-importance-de-crier/desert Bonjour. Si vous utilisez mes textes pour enrichir vos "poèmes", merci de l'indiquer au moins en bas de page. Les lecteurs ne sont pas dupes : ça sonne faux au milieu du reste, on sent que ce n'est pas de vous. Cordialement, Anton Karmazoe
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