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les réves qui séfondres
Regarde-nous
Nous n’écouterons plus nos bouches se répondre
Nos cœurs qui sonnaient faux
S’éteignent dans la nuit
Sous des rêves qui s’effondrent
Leurs débris s’en vont suivre sans bruit
le vol des condors dans le silence des AndesOu seul tes cris éraillés
Résonne encore désormais
Avec toute sa violence
Ma bouche se referme
L’abîme de mon indifférence
A absorbé ton tout dernier souvenir
Tes calomnies injurieuses résonnent
Encore dans ce corridor
Qui retentit un temps au milieu de ta haine
Subir tes insultes étais triste à crever !
Tout s'est désormais éteint
Ton absence est plate à l’infini
Restent des images qui tournent et roule
Alors je devine
Comme à travers l’autre lumière
À travers la dernière
Des dernières
J’entrevois derrière
A présente je lève mon verreAux minutes qui tanguent dans les airs
A l'ombre de ton reflet
Aux jours délavés
Et ne songent plus qu’à sceller mes paupières
Afin d’oublier l’image de tes insultes sybaritesOtangerac
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Commentaires
https://sites.google.com/site/antonkarmazoe/l-importance-de-crier/desert Bonjour. Si vous utilisez mes textes pour enrichir vos "poèmes", merci de l'indiquer au moins en bas de page. Les lecteurs ne sont pas dupes : ça sonne faux au milieu du reste, on sent que ce n'est pas de vous. Cordialement, Anton Karmazoe