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Sur un chemin de campagne en automne,Sous un magnifique pommier,
Une petite crotte posée furtivement par un petit bambin s'ennuyait.
Soudain une rafale de Mistral,De l’arbre fit tomber une très jolie pomme.
Toute heureuse d'avoir enfin de la compagnie, la petite crotte dit:
- Bonjour belle rouge!
Pas de réponse.
- Bonjour! Insiste la petite crotte.
Toujours pas de réponse de la belle écarlate.
- Ohé! Tu es m’entend? Je dis bonjour !
La pomme se tourne.
- Pardon ? C'est à moi que tu causes ?Non mais tu m'as vu, tu t'es vu ?
Moi belle, ronde, rouge et brillante à souhait,
Toi misérable et nauséabonde petite crotte!
Crois tu vraiment que je vais t'adresser la parole ? Tu rêves !
La petite crotte est très triste,Elle ne répond pas, se retourne pour cacher ses larmes.
Le bambin au retour de l’école, sautillant et chantonnant: "Lalala lalala..."
évitant sa crotte du matin, la contourne.
Puis s’approche la belle pomme,S’incline, la ramasse la frotte vivement sur le revers de sa manche
Et la croque à grandes dents.
Alors la petite crotte se retourne toute ravieReconnaissant son poseur de bambin
Dit à la pomme: - A tout à l'heure !!!!
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Notre amour na pas survécu
Ton nouvel amour ma vaincu
Il ma privé de ton sourire
Pourtant j’avais tellement de chose à dire
A tu oublié nos peines et nos douleurs ?
Lorsque nous cherchions toi et moi le bonheur !
Toutes ses nuits derrière nos écrans
Jusqu’au matin soleil levant
Notre idylle na pas eu une chance de survie
Depuis ton départ en catimini
Mon écran ne fait plus le moindre bruit
Mais tu ne sait pas que tu ma détruit…
Mon cœur a présent es en parcage
Il na plu le goût du partage
Ton absence fait des ravages
Mais il ne peut plu faire de tapages
Pour ton amour volage
Otangerac
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Mon souffle sera l’escarmouche
Des malheur qui na pas de couche
J’écris pour les nuits prochaines
Un poème d’amour et de haine
J’écris pour la vie qui me gangrène
En pensent a toi Philomène
Dont ma santé précaire
Assombrit mes matins de galère
A la sortie de ma nuit qui lancine
J’écris pour la vie qui m’assassine
Sur des silences qui brise le lamento
De mes hémisphère cérébraux
Otangerac 30 :10 :09
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Quand les blessures s'enlisent
Engloutie dans l'ennui des autres
A l'abri d'une folie qui tourne en rond
Dans le secret de nos viesÀ cause d'une cause qui n'en est pas une
J’hésite encore
Entre la patine de la nuit
Les véhémences du jourA rêver d'un silence
Devenu paresseux
C’est peut-être même ce mot
Qui disperse mes pensées
Je ne parlerai plus d'amour
Sous une lune qui se baigne toute seule
Dans la buée de mes yeuxDans ma chambre
Parmi la poussière du lit
Aux murs tapissé de photos
De souvenirs aux plaisirs anciens
Sous un plafond voyeurViendront encore d'autres jours
Grisonnant bêtement comme une fin d'été
Et là !! Je disparaîtrai dans mes pensées
Qui dérivent sur mon coeur essoufflé
Depuis ton funeste départOtangerac
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Parfois le dimanche
Dans mes moments de répit
J'étale tous nos mots sur le sofaEt musarder à l'intérieur de ton être
Voyage à travers ton corps et ta peau
La bouche cousue à nos rêves
Mon souffle s'y promène en silenceLaissent éclore le présent
Jalousant les journées que tu passes sans moi
Aux nuits où je ne suis pas disponibleMa main ne répond plus à ton galbe
Mes mots s’impatientent s'entredéchirentHélas la nuit n'est pas venue hier sans toi
Qu'importe ! D’autres nuits viendrontParfois dès que ma nuit s’avance et s'endort
Je pratique le silence sans intentions funestesSans douleur sans cris
Je tente de me frayer un passage à travers tes silences
Et des mots que tu ne prononces jamais
Heureusement il y a les sourires chimériques
Qui savent si bien transmettre la fièvre d’un lendemain prometteurInexorable le temps parcourt mes doutes fugaces
A présent je rêve
Je n'avais pas remarqué que je m'étais égarer dans tes nuits
Je songe à mon retour dans tes bras
Et je m'inquiète de notre prochaine rencontre
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