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Par otengerac le 25 Janvier 2010 à 18:33
Cette dépêche est dédié aux jaloux aux redresseurs de torts les critiqueurs les imbus de leurs personnes à ceux-là même qui me tirent dans le dos qui inventent ma vie sans fondement ceux qui ont supposé tout savoir de moi a travers leurs grappillages dans les immondices des autres tout ces fourbes prétendu amis qui on cru m’endoctriner ou me manipuler….
Il est difficile d'accepter, les critiques, les insultes et l'indélicatesse. En général ce genre de comportement engendre une réaction négative presque instantanée sur ma personne me sentant offensée je tempête.. Aussi si je réagis en me sentant blessé ou furieux, je détruis la paix de mon esprit. Ce que j’ai fait par le passé, par contre, a présent si j’ignore l’insulte en faisant la sourde oreille, je me protéger contre cette indignité. Donc, s’il s’agit d’une insulte mineure ou isolée, je peux tout simplement décider de l’ignorer par contre, si la personne continue à tenir des propos calomniateurs et déplaisants à mon sujet, si elle persiste à me couvrir d’injures alors j’applique une solution radicale.
Par le passé ma réaction était fulgurant (lorsque l’on connais le bonhomme on comprend) a présent je m’éloigne physiquement de la personne qui ma insulte. C’est la façon la plus simple pour diminuer mon exposition à ses attaques. Mais peu importe les circonstances, si des insultes répétitives deviennent un véritable abus psychologique, j’ai toujours la possibilité de fuir. En général, vaux mieux se taire lorsque nous sommes insulté, mais parfois la situation impose ! Je ne manque pas de courage pour le faire, c’et plutôt que la personne ne le mérite pas ou plu à mes yeux, je le fais pour moi-même. Cela ne peut que me placer au-dessus de la personne qui m’insulte. Montrez du respect à cette personne ne veut pas dire que j’abandonne mes positions et mes idées. Cela signifie simplement que je suis mieux qu’elle..
Toutes ses circonstances désagréables sont pour moi des occasions d’apprendre. Transformer mon épreuve en opportunité. Les insultes qui me sont faites ont peut-être une parcelle de vérité. Puis même si elles sont complètement fausses; j’apprends en observant le contexte qui a mené à ces insultes. Peu importe si je suis fautif ou pas, il y a toujours de nouvelles choses à apprendre.
Il est vrai aussi que je ne m’attendais jamais à être insulté, surtout par une femme au langage de charretière ou de garçon manqué. Il est malheureusement normal de temps à autre d’être victime d’indélicatesse. Ça fait partie de la vie en société. Alors, je dédramatise la situation. Ça arrive à tout le monde. Ça m’est déjà arrivé dans le passé et j’ai survécu. Je sais pertinemment que cela m’arrivera encore certes !..
Conclusion
Lorsque je suis blessé par les mots des autres, je prend l’attitude de mon chien Renoir. Mon chien ne s'occupe pas des commérages ou des ragots, il ne fait qu’étendre sa joie partout sans distinction sans se soucier de savoir si les gens sont les bienvenus ou pas. Donc j’imite mon chien, et continue à rayonner même si je me sens offensé. Avec cet état d’esprit, je suis en meilleure position pour continuer à être courtois et diplomate dans toutes les situations. Évidemment, je ne vais pas laisser qui que ce soit abuser de moi ou manger a ma table. Je sais simplement que lorsque je suis insulté, c’est à moi de décider d’être victime ou d’être plus fort que cette épreuve, de choisir d'ouvrir ou fermer la porte à ses gens là...Otangerac
"Si l’on est patient un jour de colère, ont échappe à trois cent jours de chagrin."
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Par otengerac le 18 Novembre 2009 à 21:46
Ma démesure dans les mots que je ne te dis pas
Mais que j'ai là, au fond de moi
Et ma lassitude de ce silence enfoui qui ne demande qu'à jaillirAu présent de ton infini
Ma colère de n'être pas cet autre qui pourrait dire, a ma façonMes sentiments perdus
Ma peur de ne jamais te retrouver comme je te rêve incessamment,
Pour au crépusculaire matin, chasser mes démons.Dans la lumière de l'aube,
Qui m’apparaissent tels des ombres ridicules.
Alors le chagrin devient un flacon vide
Dans lequel on déverse le vin du lendemain
Celui qui nous enivre, celui qui nous fait vivre.
Puis restant seul comme un idiot a écouté
Touts ses mots qui s'évadent de moi et passe le mur des silences
Ses satanés mots qui font mal lorsque ils passent,
Qui libèrent certes ! Une fois accouchée,
Mais qui se débattent dans les imbroglios de lyrismes inachevés
Parfois, ces un coup de grâce,Lorsque je crois que tu es là,
Alors ma douleur n'a de bon que cette lueur
Éclairant le chemin de retour à mes nuits
Otangerac 18.11.2009
2 commentaires -
Par otengerac le 5 Novembre 2009 à 08:08
Sur un chemin de campagne en automne,Sous un magnifique pommier,
Une petite crotte posée furtivement par un petit bambin s'ennuyait.
Soudain une rafale de Mistral,De l’arbre fit tomber une très jolie pomme.
Toute heureuse d'avoir enfin de la compagnie, la petite crotte dit:
- Bonjour belle rouge!
Pas de réponse.
- Bonjour! Insiste la petite crotte.
Toujours pas de réponse de la belle écarlate.
- Ohé! Tu es m’entend? Je dis bonjour !
La pomme se tourne.
- Pardon ? C'est à moi que tu causes ?Non mais tu m'as vu, tu t'es vu ?
Moi belle, ronde, rouge et brillante à souhait,
Toi misérable et nauséabonde petite crotte!
Crois tu vraiment que je vais t'adresser la parole ? Tu rêves !
La petite crotte est très triste,Elle ne répond pas, se retourne pour cacher ses larmes.
Le bambin au retour de l’école, sautillant et chantonnant: "Lalala lalala..."
évitant sa crotte du matin, la contourne.
Puis s’approche la belle pomme,S’incline, la ramasse la frotte vivement sur le revers de sa manche
Et la croque à grandes dents.
Alors la petite crotte se retourne toute ravieReconnaissant son poseur de bambin
Dit à la pomme: - A tout à l'heure !!!!
1 commentaire -
Par otengerac le 5 Novembre 2009 à 08:03
Notre amour na pas survécu
Ton nouvel amour ma vaincu
Il ma privé de ton sourire
Pourtant j’avais tellement de chose à dire
A tu oublié nos peines et nos douleurs ?
Lorsque nous cherchions toi et moi le bonheur !
Toutes ses nuits derrière nos écrans
Jusqu’au matin soleil levant
Notre idylle na pas eu une chance de survie
Depuis ton départ en catimini
Mon écran ne fait plus le moindre bruit
Mais tu ne sait pas que tu ma détruit…
Mon cœur a présent es en parcage
Il na plu le goût du partage
Ton absence fait des ravages
Mais il ne peut plu faire de tapages
Pour ton amour volage
Otangerac
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