-
Par otengerac le 30 Octobre 2009 à 17:42
Mon souffle sera l’escarmouche
Des malheur qui na pas de couche
J’écris pour les nuits prochaines
Un poème d’amour et de haine
J’écris pour la vie qui me gangrène
En pensent a toi Philomène
Dont ma santé précaire
Assombrit mes matins de galère
A la sortie de ma nuit qui lancine
J’écris pour la vie qui m’assassine
Sur des silences qui brise le lamento
De mes hémisphère cérébraux
Otangerac 30 :10 :09
votre commentaire -
Par otengerac le 7 Octobre 2009 à 17:54
Quand les blessures s'enlisent
Engloutie dans l'ennui des autres
A l'abri d'une folie qui tourne en rond
Dans le secret de nos viesÀ cause d'une cause qui n'en est pas une
J’hésite encore
Entre la patine de la nuit
Les véhémences du jourA rêver d'un silence
Devenu paresseux
C’est peut-être même ce mot
Qui disperse mes pensées
Je ne parlerai plus d'amour
Sous une lune qui se baigne toute seule
Dans la buée de mes yeuxDans ma chambre
Parmi la poussière du lit
Aux murs tapissé de photos
De souvenirs aux plaisirs anciens
Sous un plafond voyeurViendront encore d'autres jours
Grisonnant bêtement comme une fin d'été
Et là !! Je disparaîtrai dans mes pensées
Qui dérivent sur mon coeur essoufflé
Depuis ton funeste départOtangerac
votre commentaire -
Par otengerac le 6 Octobre 2009 à 18:15
<!-- /* Style Definitions */ p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal {mso-style-parent:""; margin:0cm; margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:12.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-fareast-font-family:"Times New Roman";} @page Section1 {size:612.0pt 792.0pt; margin:70.85pt 70.85pt 70.85pt 70.85pt; mso-header-margin:36.0pt; mso-footer-margin:36.0pt; mso-paper-source:0;} div.Section1 {page:Section1;} -->
Parfois le dimanche
Dans mes moments de répit
J'étale tous nos mots sur le sofaEt musarder à l'intérieur de ton être
Voyage à travers ton corps et ta peau
La bouche cousue à nos rêves
Mon souffle s'y promène en silenceLaissent éclore le présent
Jalousant les journées que tu passes sans moi
Aux nuits où je ne suis pas disponibleMa main ne répond plus à ton galbe
Mes mots s’impatientent s'entredéchirentHélas la nuit n'est pas venue hier sans toi
Qu'importe ! D’autres nuits viendrontParfois dès que ma nuit s’avance et s'endort
Je pratique le silence sans intentions funestesSans douleur sans cris
Je tente de me frayer un passage à travers tes silences
Et des mots que tu ne prononces jamais
Heureusement il y a les sourires chimériques
Qui savent si bien transmettre la fièvre d’un lendemain prometteurInexorable le temps parcourt mes doutes fugaces
A présent je rêve
Je n'avais pas remarqué que je m'étais égarer dans tes nuits
Je songe à mon retour dans tes bras
Et je m'inquiète de notre prochaine rencontre
votre commentaire -
Par otengerac le 4 Octobre 2009 à 08:31
Lui écrit avec des larmes de regrets
Les moments doux du temps passé
Trouver les mots de réconfort brodé de douceur
Pour que moins cruels soit l’adieu
Car cupidon arrache ses flèches sans rémission
Les phrases s’entremêlent sous ma plume lointaine
L’encre de mon cœur à tari sous nos étreintes
Pourtant je voudrais la soulager dans cette démarche meurtrière
A cet instant je voudrait ne jamais avoir partagé sa vie
Pour ne pas avoir a lui dire que notre amour expire
Je ne signerait pas au bas de ce parchemin
Elle lira ces triste lignes et saura bien qui les a écrites
Elle pleurera assurément, car par nos silences elle savait !
Mais l’espérance battait la chamade en son être intérieur
Afin de reconstruire ou de trouver encore un souffle à partager
votre commentaire -
Par otengerac le 2 Octobre 2009 à 18:48
Par ton malheur touché, mon cœur reste attristé
Toute les larme de ton corps coule sur mes joues bistrées
Mon âme est aux cent coups depuis ton absence délibérés
Je guette avec ardeur ton retour diapré
De ton amour privé, c’est moi que tu puni,
Moi qui suis une erreur sur ton parcours aux chemins désunis
J’aimerais revivre la douceur de tes sourires anéantis
T’offrir des mots pour toi reconstruits
Je voudrais t’apaiser de toute ma tendresse
D’un simple petit baiser faire oublier ta détresse
Assécher sur tes joues les perles de vin de messe
Et pouvoir illuminé ton regard d’allégresse
Rallumer cette flemme en ton visage si doux
Irriguer tes veines d’un alcool qui rend fous
Reprendre la route sans remord et courroux
Ecoute ton ami qui depuis toutes ses années te suis de partout
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique