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    Mon souffle sera l’escarmouche

    Des malheur qui na pas de couche

     

    J’écris pour les nuits prochaines

    Un poème d’amour et de haine

     

    J’écris pour la vie qui me gangrène

    En pensent a toi Philomène

     

    Dont ma santé précaire

    Assombrit mes matins de galère

     

    A la sortie de ma nuit qui lancine

    J’écris pour la vie qui m’assassine

     

    Sur des silences qui brise le lamento

    De mes hémisphère cérébraux

     

    Otangerac 30 :10 :09


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    Quand les blessures s'enlisent

    Engloutie dans l'ennui des autres

    A l'abri d'une folie qui tourne en rond
    Dans le secret de nos vies

    À cause d'une cause qui n'en est pas une

     

    J’hésite encore
    Entre la patine de la nuit
    Les véhémences du jour

    A rêver d'un silence

    Devenu paresseux

     

    C’est peut-être même ce mot

     Qui disperse mes pensées

    Je ne parlerai plus d'amour
    Sous une lune qui se baigne toute seule
    Dans la buée de mes yeux

     

    Dans ma chambre

    Parmi la poussière du lit
    Aux murs tapissé de photos
    De souvenirs aux plaisirs anciens
    Sous un plafond voyeur

     

    Viendront encore d'autres jours

    Grisonnant bêtement comme une fin d'été

    Et là !! Je disparaîtrai dans mes pensées

    Qui dérivent sur mon coeur essoufflé
    Depuis ton funeste départ

     

    Otangerac

     


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    Parfois le dimanche
    Dans mes moments de répit
    J'étale tous nos mots sur le sofa

    Et musarder à l'intérieur de ton être

    Voyage à travers ton corps et ta peau
    La bouche cousue à nos rêves
    Mon souffle s'y promène en silence

     

    Laissent éclore le présent
    Jalousant les journées que tu passes sans moi
    Aux nuits où je ne suis pas disponible

    Ma main ne répond plus à ton galbe
    Mes mots s’impatientent s'entredéchirent

    Hélas la nuit n'est pas venue hier sans toi
    Qu'importe ! D’autres nuits viendront 

     

    Parfois dès que ma nuit s’avance et s'endort
    Je pratique le silence sans intentions funestes

    Sans douleur sans cris
    Je tente de me frayer un passage à travers tes silences
    Et des mots que tu ne prononces jamais
    Heureusement il y a les sourires chimériques
    Qui savent si bien transmettre la fièvre d’un lendemain prometteur

     

    Inexorable le temps parcourt mes doutes fugaces

    A présent je rêve
    Je n'avais pas remarqué que je m'étais égarer dans tes nuits
    Je songe à mon retour dans tes bras  
    Et je m'inquiète de notre prochaine rencontre

     

    Otangerac

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    Lui écrit avec des larmes de regrets
    Les moments doux du temps passé
    Trouver les mots de réconfort brodé de douceur
    Pour que moins cruels soit l’adieu
    Car cupidon arrache ses flèches sans rémission

    Les phrases s’entremêlent sous ma plume lointaine
    L’encre de mon cœur à tari sous nos étreintes
    Pourtant je voudrais la soulager dans cette démarche meurtrière
    A cet instant je voudrait ne jamais avoir partagé sa vie
    Pour ne pas avoir a lui dire que notre amour expire

    Je ne signerait pas au bas de ce parchemin
    Elle lira ces triste lignes et saura bien qui les a écrites
    Elle pleurera assurément, car par nos silences elle savait !
    Mais l’espérance battait la chamade en son être intérieur
    Afin de reconstruire ou de trouver encore un souffle à partager

     


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    Par ton malheur touché, mon cœur reste attristé

    Toute les larme de ton corps coule sur mes joues bistrées

    Mon âme est aux cent coups depuis ton absence délibérés

    Je guette avec ardeur ton retour diapré

     

    De ton amour privé, c’est moi que tu puni,

    Moi qui suis une erreur sur ton parcours aux chemins désunis

    J’aimerais revivre la douceur de tes sourires anéantis

    T’offrir des mots pour toi reconstruits

     

    Je voudrais t’apaiser de toute ma tendresse

    D’un simple petit baiser faire oublier ta détresse

    Assécher sur tes joues les perles de vin de messe

    Et pouvoir illuminé ton regard d’allégresse

     

    Rallumer cette flemme en ton visage si doux

    Irriguer tes veines d’un alcool qui rend fous

    Reprendre la route sans remord et courroux

    Ecoute ton ami qui depuis toutes ses années te suis de partout

     


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